Synopsis : "Tandis que mon père s'endort peu à peu contre moi, je lui parle une dernière fois : Plus tard, tu ne pourras pas vivre avec le secret des Jardin. Il te tuera... Tu feras un livre, Le nain jaune, pour le camoufler. Au même âge que toi, j'en ferai un, Des gens très bien, pour l'exposer. Et je vivrai la dernière partie de ta vie... La mienne. Dors mon petit papa, dors... Ce livre aurait pu s'appeler fini de rire. C'est le carnet de bord de ma lente lucidité." Alexandre Jardin.
Dans Des gens très bien, Alexandre Jardin raconte son odyssée intime depuis l'âge de dix-sept ans, où il a commencé à comprendre ce que signifiaient les responsabilités glaçantes de son grand-père, tues par sa famille avant de s'interroger sur les chemins qui conduisent quelqu'un de bien à participer à l'horreur ; et à l'assumer sans jamais se renier. Derrière le rire d'Alexandre, il y avait donc ce secret terrible, étrangement exhibé par son père Pascal pour qu'il ne soit pas vu. Ce voyage chez ces 'gens très bien' passe par des souvenirs, des saynètes difficiles : c'est une confession grave.
Suggéré par Tronche S.
Dans Des gens très bien, Alexandre Jardin raconte son odyssée intime depuis l'âge de dix-sept ans, où il a commencé à comprendre ce que signifiaient les responsabilités glaçantes de son grand-père, tues par sa famille avant de s'interroger sur les chemins qui conduisent quelqu'un de bien à participer à l'horreur ; et à l'assumer sans jamais se renier. Derrière le rire d'Alexandre, il y avait donc ce secret terrible, étrangement exhibé par son père Pascal pour qu'il ne soit pas vu. Ce voyage chez ces 'gens très bien' passe par des souvenirs, des saynètes difficiles : c'est une confession grave.
Suggéré par Tronche S.
Évaluation :
Tronche S : 3.5
Tronche M : 3.1
Tronche E : 3.5
Tronche C : 3
Note globale : 3.3
Lieu de rencontre : El Chalateco. El Chalateco est approuvé par le club.